Cette fresque murale, intitulée "Nuage de Pollution", est un puissant commentaire social et environnemental réalisé par le street artiste international Dave Baranes sur le mut de l’intermarché de Courtenay
Le passage du Cygne de Courtenay abrite une fresque authentique signé du street artiste Dave BARANES. Une oeuvre envoûtante qui orne le mur de la fondation Lorenzo Padilla.
Les samedis 29 juillet et 5 août, de 14h à 16h, rendez-vous à la galerie solidaire au passage du cygne à Courtenay pour deux ateliers de dessin exceptionnels.
Si vous rêvez de vous initier au Street Art en compagnie d'un artiste reconnu, ne ratez pas cette opportunité unique ! L'atelier, organisé le samedi 5 août de 14h à 16h, se déroulera à l'accueil d'Intermarché de Courtenay.
Le domaine de Vauguouard a accueilli avec joie la première édition du Trophée de Golf Lorenzo Padilla, une compétition caritative empreinte de solidarité. L'objectif principal de cet événement était de financer l'acquisition de verticalisateurs "paramobile paragolfeur", permettant ainsi aux personnes en situation de handicap de pratiquer le golf.
Exposition des œuvres de Claudia Padrón Gómez & Adrián Gómez Sancho du 7 juillet au 7 août 2023.
L'exposition "Réflexes Humains" nous plonge dans un voyage fascinant à travers la représentation de la figure humaine dans différentes formes artistiques. À travers des portraits photographiques et des peintures anthropomorphiques, les deux artistes explorent la complexité de la condition humaine et nous invitent à réfléchir sur notre propre nature. Le terme "Réflexes" devient un pont émotionnel qui nous relie à notre psyché, révélant des aspects profonds de l'expérience humaine. À travers ce regard intérieur, les artistes créent un dialogue direct et personnel avec chaque spectateur, nous invitant à explorer notre propre identité et nos émotions.
Exposition à la galerie solidaire du 2 au 30 juin 2023
Franck Tordjmann est un artiste autodidacte français né en 1958. Sa rencontre avec César à Nice en 1992 s'est révélée déterminante dans sa relation à l'art et la sculpture. Son médium de prédilection va très vite devenir le Plexiglas. Il est reconnu pour ses sculptures aériennes, ses peintures lumineuses et colorées, ainsi que ses compositions photos originales
La fondation Lorenzo Padilla organise le mercredi 12 juillet 2023 une compétition caritative de golf au domaine et golf de Vaugouard. Cette initiative a pour but de financer la fabrication de deux verticalisateurs, des fauteuils roulants de golf, pour aider les personnes en situation de handicap à continuer de pratiquer leur passion.
Ce très joli ouvrage recueille trois contes traditionnels du Bénin (Afrique de l’Ouest), pleins de sagesse et de personnages hauts en couleur. Découvrez 3 textes illustrés à lire et à relire pour vos enfants. Ces histoires ont un sens et participe à soutenir l’action de la Fondation Zinsou et son atelier « les petits pinceaux ».
Comment vivre avec une prothèse ? Commenter en parler ? Comment la comprendre, l'accepter ? Comment faire évoluer le regard des autres et son propre regard ? Le projet Corps étranger a pour ambition de mettre en lumière l’invisible, le discret, l’insoupçonnable, l’incontournable et pourtant essentiel pour continuer à se mouvoir dans la vie : la prothèse.
Depuis plus d’un an, La fondation Lorenzo Padilla travaille activement à sa transformation afin qu’elle soit reconnue d’utilité publique. Le chemin est long et nous mettons tout en oeuvre pour atteindre cet objectif. Point d’étape sur une reconnaissance en cours.
La Fondation Lorenzo Padilla continue son engagement auprès du Centre de Médecine Physique & de Réadaptation LADAPT Loiret en permettant l’accès à l’Art Thérapie à ses patients depuis le 14 octobre 2020. Bonne écoute.
Exposition à la galerie solidaire du 1er avril au 30 mai 2023 (prolongation).
David Bartolini voit le jour en 1967 à Pistoia , petite cité située au pied des Apennins à 37 kms au Nord-Ouest de Florence (Italie). Dés l'âge de 12 ans, il se passionne pour le dessin et croque tout ce qui l'entoure comme la campagne toscane et les édifices florentins.
Toute la saison pour l’année 2023 est en ligne. Ne ratez pas ces évènements hauts en couleurs.
L’esprit de Noël, c’est d’abord un moment de partage, de solidarité, de convivialité. Un moment propice pour penser à ceux qui sont moins chanceux que soi aussi… sans pour autant se priver.
Cette année la Fondation Lorenzo Padilla vous propose des idées de cadeaux solidaires pour gâter la famille et les amis.
Prêt à faire d'1 pierre 2 coups ?
Nous vous proposons une sélection de cadeaux pour faire plaisir
et servir une belle cause :
Boutique Solidaire
Du 1er au 22 décembre
DU MARDI AU SAMEDI
10 h – 18 h
LE DIMANCHE
10 H – 15 H
29 Place Armand Chesneau
Passage du Cygne
45 320Courtenay
Et
Boutique en ligne
www.fondationlorenzopadilla.org
24/24
Parole d’Urban Street Artiste
J’ai toujours aimé dessiner depuis le plus jeune âge. Au collège j’ai découvert le graffiti, le street-art. J’ai commencé à utiliser à cette période les bombes de peinture. Aujourd’hui d’ailleurs j’utilise toujours ce medium mélangé à d’autres techniques. Je me suis rapidement aussi intéressé à la technique du trompe l’œil. Je suis complètement autodidacte.
En fonction de l’effet recherché, je vais m’orienter vers certaines techniques. Par exemple pour retrouver la matérialité brute du mur, sa texture, je vais utiliser des encres très diluées et ainsi rendre l’illusion du mur et de sa présence. Il faut trouver le juste milieu pour que la technique n’endorme pas le message mais qu’elle le porte. L’hyper-réalisme n’est pas une fin en soi.
Le Super Héro de l’Urban Art
Il nous revient enfin, après nous avoir interpellé avec quelques unes de ses plus belles représentation de la planète en danger.
Dave revêt ici son costume de penseur du supra réel . Il le dit lui-même : « je représente les super-héros comme des Robins des bois en prise au chaos symbolisé par le fond des tableaux et ayant comme mission de sauver le monde ».
Cette nouvelle exposition nous entraine avec délice dans l’univers onirique de la Ligue, de la Galaxie ou d’Enphor. On retombe en enfance , on retourne dans le futur, on fulguro pointe, on game over.
Dave nous offre une fois en encore une merveilleuse expression de la métamorphose , et plus que cela, l'animalité dans l'humain, c'est-à-dire la force primitive d'anomie.
Nous avons l’immense douleur de vous faire part du décès de Pedro Padilla.
Pedrito, comme on l’appelait chez nous, était le frère cadet de Lorenzo Padilla. Représentant officiel de la Fondation Lorenzo Padilla à Cuba, Pedrito a toute sa vie durant oeuvré pour la République de Cuba et l’égalité des hommes.
Grand Reporter à Radio 26 Cuba jusqu’en 2019 et companieros éternel de la liberté, notre père , notre oncle et notre frère laisse un grand vide dans nos vies.
A jamais dans nos coeurs
FAMILLE PADILLA
PAROLES D’ARTISTES EN HERBES
« Je m'appelle Manon Vaurs-Lemaitre, j'ai 18 ans et je suis étudiante en 2e année à l'école Émile Cohl à Lyon. La Fondation Lorenzo Padilla m’accompagne dans mon cursus. Cela représente une énorme source de réjouissance pour moi car au travers de ma formation je peux profiter chaque jour de mon amour pour le dessin et les arts graphiques. Je peux aussi envisager de faire de ma passion mon métier, à l’instar du grand artiste peintre qu’est Lorenzo Padilla. »
«Le dessin est depuis toute petite, ma plus grande passion. Il me permet d’extérioriser mes émotions, mes sentiments, de les retranscrire sur papier afin de leur donner une vie. Il me permet de comprendre comment fonctionne le réel afin de mieux en sortir, de développer mon propre univers. Le dessin est pour moi la façon de rentrer dans mon monde. La lecture à toujours été pour moi une grande source d’inspiration, tout comme la musique, très importante à mes yeux. Enfin, j’aime tout particulièrement la coloration. J’ai toujours eu une sensibilité particulière pour le choix et l’harmonie des couleurs afin de donner du volume et de l’expression à mes dessins. Chaque dessin est pour moi un nouveau défi à réaliser, m'imposant toujours de nouvelles techniques, des thèmes que je n'ai pas l'habitude de travailler »
On se serait cru à un vernissage new-yorkais de Greenwich Village vendredi soir à Courtenay, à l’occasion de l’opening de la toute première exposition de Manon Vaurs Lemaitre , brillante étudiante en Arts Graphiques de la prestigieuse école Émile Cohl à Lyon . Le passage du Cygne avait des allures de Perry Street et l’on se prenait à rêver de croiser Mark Twain, Andy Warhol ou la grande Mary Louisa Stone. Il faut dire que Manon a su nous émerveiller en nous montrant et en nous parlant de son UNIVERS. The Little Owl s’était installé dans les murs du PETIT CAMÉLÉON qui nous prêtait gracieusement son espace le temps de la soirée ; tandis que nous nous délections des mini spécialités de DÉLICE DES ANGES (notre Magnolia Bakery).
Venez retrouver cette belle ambiance bohème jusqu’au 1er novembre -du mardi au samedi - …
Qui sait si vous pourrez croiser Carry ou Rachel … mais une chose est certaine, vous serez à coup sûr transporté dans l’univers de Manon.
crédit photo Valérie Rodriguez
Faire l’école buissonnière. Si aujourd’hui cette expression n’est plus seulement l’apanage des écoliers, son origine nous ramène dans les écoles du XVIe siècle. En effet, La buissonnière était en fait une école clandestine, qui se tenait dans les champs. À cette époque, Martin Luther, théologien, professeur et père de la Réforme protestante, défia l’autorité du pape en ne reconnaissant que la Bible pour autorité religieuse légitime. Ses idées lui valurent de se retrouver excommunié en 1561, la peine la plus ancienne et la plus lourde chez les chrétiens. N’étant ainsi plus reconnu, Luther ne pouvait plus enseigner. Il fonda donc sa propre Église, l’Église luthérienne. Mais prêcher cette religion en public était difficile, la présence des prêtres luthériens étant rejetée par l’Église catholique… qui contrôlait également les écoles. Peu à peu ils commencèrent à dispenser leur enseignement dans des écoles clandestines, à travers les campagnes, les bois, derrière des buissons.
Lorsque nous étions enfants, nous avons fait plusieurs fois, comme tous nos égaux l’école buissonnière. Ici à la campagne, nous flânions dans les champs, le long des petits bois, dans la rivière. Temps perdu? Non, gagné car nous apprenions des choses comme l’art divin, le rythme et l’infini.
Nous retrouvons nos images d’antan et nous recouvrons la mémoire de la conscience collective et de la continuité historique. Mais surtout, Dominique Cros Pophillat réalise ici le vœux le plus cher de son grand ami Lorenzo Padilla celui de “mettre l’art à la portée de tous, aller présenter des expositions dans les coins les plus retirés de la planète : l’art, c’est pour tout le monde “.
